LENOIR ET MERNIER - LCAB

Mai 1968, Mai 2008

13 Mai 2008, 06:02am

Publié par LENOIR ET MERNIER - LCAB

Cette année en l’anniversaire des 40 ans de mai 68, la municipalité de Bogny sur Meuse a mis fin à des décennies de rencontres intersyndicales en mairie, à l’occasion de la fête du travail.
Le monde du travail, l’industrie, deviendraient-ils maintenant les sacrifiés d’une municipalité tournée vers la vallée verte et son parc régional. Après le centre social, les syndicats locaux seraient-ils condamnés à disparaître.

Erik Pilardeau en parlant de la SCOP « Il ne s’agit pas de mettre du plâtre sur une jambe de bois » (l’ardennais du 9 novembre). Actuellement la SCOP tourne à plein régime.

« Avec Masséna vous allez droit dans le mur » (29 janvier dans l’entreprise). Actuellement ont est dans le mur et Masséna embauche à la SEROMA, alors qu’ENC’OS n’a toujours pas embauché les 10 salariés prévus.

Sans parler des promesses de Pierre Cordier, qui se faisait fort de trouver 50 repreneurs (24 janvier dans l’entreprise) ou des patrons de l’UIMM qui promettait 189 embauches (table ronde du 25 mars).

 

Mai 1968 « soyons réalistes, exigeons l’impossible ».

Mai 2008 « soyons Sarkosiste, rejetons le possible »

 

 

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C
Félicitation pour la qualité de ces deux dernières interventions. Mais la préoccupation majeure des salariés ne se résume pas dans des copiés-collés d’interventions, même judicieuse, je n’en doute point.<br /> Donc restons un peu plus terre à terre et moins technique, pour dire tout simplement que les fameux sites pilotes de la réinsertion, comme le CTP (contrat de transition professionnel) sont des mesures intéressantes à condition qu’elles s’appuient sur les aspirations réelles des salariés. Et surtout que l’information et l’étude des problemes, soient effectués a la base, par le comité de pilotage. <br /> Dans les Ardennes, il n’y a qu’une seule personne du comité de pilotage qui prend le temps de consulter les salariés licenciés.<br /> Anne-Sophie, 8 salariés sur 10 déclarent ne pas être intéressés et 8 salariés sur 10 acceptent de faire des heures supplémentaires.<br /> En tout cas nous, pour l’instant on aimerait bien faire des heures normales tout court.<br /> Merci pour vos interventions.
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A
Et ça ?<br /> Temps de travail, le gouvernement s’entête <br /> Au lendemain de la mobilisation du 17 juin, le Conseil des ministres a validé le projet de loi sur le temps de travail. <br /> En donnant son feu vert au projet de loi sur le temps de travail, le Conseil des ministres fait encore monter la pression d’un cran. Tête baissée, le gouvernement fait fi de l’opposition des syndicats – notamment de celle de la CFDT qui a défilé massivement le 17 juin – à la remise en cause des 35 heures. Un passage en force identifié par la CFDT comme « une faute politique grave » qui bafoue allégrement le dialogue social renoué au cours des derniers mois sur la modernisation du marché du travail et la représentativité syndicale. « Le gouvernement donne des signes à sa majorité sur le dos des salariés, ce n’est pas acceptable. Nous nous sommes installés dans la dynamique du dialogue social et l’on voyait déjà les résultats. Tout cela a été freiné, stoppé, à des fins politiques internes et circonstancielles », explique Laurence Laigo, secrétaire nationale, chargée du temps de travail.<br /> <br /> Concrètement, par ce projet de loi, qui sera présenté au Parlement selon la procédure d'urgence dans le but d'accélérer son adoption, le gouvernement donne aux entreprises les moyens pratiques de contourner la durée légale du travail en touchant aux contingents d’heures supplémentaires et en permettant divers aménagements du temps de travail sur tout ou partie de l’année. Ce que le chef de l’État présente comme « la dernière étape pour réparer les dégâts occasionnés par la mise en place des 35 heures » ne semble pas convaincre les salariés : alors que la loi sur le dialogue social donne la possibilité aux entreprises de racheter les RTT de leurs salariés qui le souhaitent jusqu’au 31 décembre 2009, huit salariés sur dix déclarent ne pas être intéressés (1). En pleine bataille entre les syndicats et le gouvernement sur les 35 heures, les salariés, eux, semblent avoir choisi leur camp.
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B
Cà c'est bien...<br /> Depuis trois ans la CFDT mène une action “Sites pilotes contre l’exclusion” afin de trouver des moyens novateurs pour insérer durablement des personnes éloignées de l’emploi, que ce soit dans le secteur privé ou la fonction publique. Sept lieux (1) ont été choisis pour conduire cette action avec les équipes syndicales, les associations d’insertion, les missions locales, les employeurs et les pouvoirs publics. Ces acteurs, ainsi que de nombreux bénéficiaires de ces expérimentations, étaient réunis à la Confédération le mercredi 18 juin pour participer au colloque “De l’exclusion à l’emploi”, en présence notamment de François Chérèque, Annie Thomas, secrétaire nationale en charge de l’insertion professionnelle et Martin Hirsch, haut commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté. Le but de cette journée n’était pas de « donner des leçons, mais de tirer des leçons de ces expérimentations », affirme Denys Cordonnier, animateur du colloque. Pour la CFDT, « il s’agit d’être des facilitateurs de la rencontre entre le monde de l’insertion, le monde de l’entreprise et le monde salarial, trois univers qui souvent se méconnaissent et parfois se méfient les uns des autres », explique Annie Thomas. Outre ce partenariat indispensable, les conditions de la réussite sont multiples, à commencer par l’implication de l’équipe syndicale, pas toujours évidente. Il faut aussi bousculer les habitudes patronales. « Nous avons réussi à convaincre les employeurs qu’un autre mode de recrutement est possible », se félicite Dominique Delcroix, de la mission locale de Maubeuge. L’accompagnement, hors et dans l’entreprise, des personnes en insertion se révèle crucial. « Si on lâche des personnes seules dans l’entreprise, il ne peut pas y avoir d’insertion », explique Christiane, qui a bénéficié du dispositif Pacte Junior au Conseil général de Loire-Atlantique. Les salariés déjà en poste doivent laisser de côté nombre de préjugés lorsqu’arrivent dans l’entreprise des personnes qui doivent retrouver confiance en elles.<br /> <br /> Quelles suites pour ces expérimentations ? Martin Hirsch évoque le « large écho» des sites pilotes qui « bousculent certaines idées reçues ». « Elles alimentent notre réflexion pour les négociations, explique François Chérèque. Mais une expérimentation ne marche que si elle ne reste pas à ce stade. » Les sites pilotes ont déjà trouvé une extension concrète, puisque certaines propositions de la CFDT au Grenelle de l’insertion en découlent, telle l’extension des contrats de professionnalisation.
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N
Madame;<br /> votre premier commentaire est juste rempli de haine! le deuxième est tout simplement une litanie!et enfin , veuillez laisser votre père reposer en paix s'il vous-plait!
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P
ca fait 33 ans que je connais claude il a toujour fait passer les autres avent lui et sa porte n a jamais ete fermer pour personnes voire des ecrits comme cela fait par la fille de jean fait mal la panse merci pour les petits mots pour ma fille etleonie
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C
Stéphanie, concernant le 1er mai, je confirme que ni moi ni personne de l’union locale n’avons été invités. Concernant ta position agressive suite à notre liste, je confirme également la véracité des faits.<br /> Nous n’avons pas la même conception de la politique. On peut mettre en avant ses réseaux relationnels, sa présence sur le terrain, son action dans les instances décisionnelles, sa communication avec les salariés, sans pour autant cacher ou se congratuler de son étiquette politique. C’est ce qu’on fait Michèle LEFLON ou Claudine LEDOUX ou encore Joël DUJEUX le secrétaire de la section socialiste de… Givet.<br /> Nous avions besoin que les politiques se mettent en avant pour agir à nos côtés, mais pas contre nous.<br /> • Refus d’écouter la position des salariés concernant le plan MASSENA.<br /> • Refus d’écouter les salariés concernant notre liste aux municipales.<br /> • Refus de relayer “efficacement “ notre demande d’indemnisation du préjudice moral.<br /> • Condamnation du seul repreneur permettant de sauver le maximum d’emploi.<br /> • Menace contre une de nos principales actions (liste municipale).<br /> • Front uni avec HURE et les patrons contre notre demande d’indemnisation, dont BACHY a dit publiquement « donner l’indemnisation c’est acheté le silence des salariés ».<br /> <br /> Quand on a des responsabilités syndicales ou politiques, on prend le temps, d’écouter, de comprendre et de convaincre, c’est cela que m’a enseigné Jean BOISSEAU. Dès le départ nous avons eu des positions arrêtées contre nous, des personnalités qui voulaient décider sans nous consulter de ce qui est bien ou pas pour les salariés, de la légitimité de nos actions ou revendications.<br /> Oui Stéphanie, tu as raison, parfois on est très mal renseigné et l'on se laisse aller à des mots que l’on peut regretter. Mais dans ce cas présent, c’est tes mots qui ont été les premiers agressifs.<br /> Secrétaire du parti socialiste, adjointe au maire, responsable de la CCAS, fille d’un militant exceptionnel, j’aurais aimé une autre réaction de ta part, plus directe et amicale, que cet échange de commentaire sur un blog public.<br /> Amicalement<br /> Claude<br /> PS : L’insulte n’est pas forcement synonyme de grossièreté, ton premier commentaire était une insulte.
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Z
stephanie,je tiens a repondre a ton commentaire<br /> tu doit te tromper de claude choquet,parsque moi le claude choquet que je connais et avec qui j,ai travaillé pendant 6 ans jusque la fermeture de lenoir -lcab a ,a l'identique les memes valeurs que ton pere<br /> toi par contre peux tu parler de solidarité avec les lenoir-lcab<br /> peux tu parler humanisme<br /> peux tu parler d'amour des autres et de cordialité avec les autres<br /> non,non stephanie c'est toi qui n'a pas ses valeurs la<br /> ton pere serait plutot effaré de voir se que tu raconte comme conneries au sujet du claude choquet que je connais moi,le claude choquet qui vous derangent,vous les elus de bogny,vous les elus du conseil general et regional,toi le patron voyou qui va je le souhaite aller en tole
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S
Claude,<br /> Jamais je ne t'ai insulté... Envois moi celui qui a osé dire cela.... C'est facile de le dire pour celui-la. Quand? Ou ? QUOI ? Et là encore tu ne sais pas ce que tu dis ou tu ne le sais pas en disant que je ne suis jamais venu sur les sites... Tu n'étais peut-être pas là quand je l'ai fait... Demandes à tes camarades... à tous.<br /> Je comprends que l'on puisse être perdu. Ou tu es très mal renseigné.... Ou les autres personnes du site ne t'ont pas informé. C'est pour cela que tu es loin, très loin de mon père car il écoutait toujours les autres.<br /> C'est là ou je dis que les paroles ou actes sont déformés : dans le site il est dit qu'il n'y a pas eu d'invitation et dans ton message tu dis que vous n'avez pas été invités ! Alors ? c'est quoi ? des paroles déformées ? Des incompréhensions ? C'est comme cela que l'on n'est plus crédible.... En réalité, il y a eu un RDV le 1er mai à la maiire et Le local CFDT a été invité lors du 1er mai comme toutes les autres représentations syndicale. Peut-être qu'un des représentants ne t'a pas transmis l'invitation mais ne t'avances pas trop vite dans tes remarques..... <br /> Ce que je reproche aussi sur ce site (et pardon si ce n'es pas que toi...) c'est d'occulter certaines phrases et de ne pas remettre les paroles des personnes dans leur contexte. Par ex, en ce qui concerne la SCOP auquel on voyait une des solutions et pas celle que tu laisse imaginer. <br /> Tu confonds tout. Tous les élus de Bogny comme tous les habitants de cette ville déplorent les manigances de cet employeur voyou. Comment peux tu laisser penser qu'on puisse être satisfait de cette situation ?<br /> Pour le Parti politique, je reste toujours en retrait pour éviter toute récupération et ça depuis que je suis étudiante ; c'est un principe. Car comme toute personne syndiquée, j'évite de mélanger mon parti et les syndicats et tu sais sur ce point je rejoins mon père... Il est très malsain de mettre en avant sa couleur politique dans tout conflit et surtout dans un conflit de cette importance.. Pourquoi ? Par ce qu'il faut absolument que les différents acteurs puissent se mettre en marche indépendamment de leur couleur politique afin d'obtenir le maxi, de sauver au maxi les postes, emplois... ce qui n'a pas été fait ici parce que justement trop politique. Certains invités font plus de mal que de bien. D'ailleurs, j'en ai rencontré un pendant le conflit et sur les sites qui a foutu la merde.... comme d'autres récupérateurs.<br /> Claude, jamais je n'utiliserai mon parti comme ticket d'entrée dans une usine, ou auprès d'une orga syndicale. et tu vas pas me dire que c'est bien vu d'arriver avec une étiquette ("c’est moi je suis la représentante du PS", ça c’est vraiment mal venue) surtout si on compare à certains qui arrivent très tardivement et qui n'ont rien obtenu et qui aurait pu ? Je le crois. Réfléchissez à cela) Jamais l’étiquette a permis de sauver quelque chose car les personnes y voit toujours un tremplin politique (et une belle manipulation ) et ils ont raison.. Votre groupe devrait réfléchir plus globalement et moins passionnément sur la politique ou les politiciens qui interviennent dans votre type de situation. Posez vous les bonnes questions sur l'intervention de certains, en faisant une analyse globale : mandats actuels de la personne (ça c'est important car cela relève tout ce que cette personne peut faire ou aurait pu faire et il y avait de la réserve) autres mandats non électifs (ce sont les autres zones d'influence), copains ou proches, situation dans le parti, élections gagnées, élections perdues (c'est là qu'il faut aussi regarder). Que font-ils localement pour les emplois ? La vie sociale ou culturelle des gens, des ouvriers qui ne peuvent pas aller dans les spectacles ou au cinéma régulièrement, des choses de la vie courante..... des choses comme cela ? Surtout ne pas prendre en compte la fichue soi disant sympathie ou pas sympathie (l'être humain est d'un naturel hypocrite) Et maintenant Analyse des perspectives. Et on peut trouver ce que cette personne cherche. Soit c'est sincère, soit cela ne l'est pas... et là …légère manipulation. C'est là que cela peut coincer et qu'on commence à tout comprendre. Voilà comment ça fonctionne... Je caricature mais à peine.<br /> Certains hommes ou femmes politiques sont trop sincères....et cela ne vous a pas plu. Le fond du Problème est là. Mais la franchise doit être de mise : c’est ce que j’ai fait dès le début du conflit (c'est en cela que je suis une fille Boisseau )car certaines solutions n’étaient pas réalisables et j'essaye toujours de ne pas réfléchir d'abord en tt que parti ou représentant de quelque chose ou dans la perspective de..... et cela tu ne peux pas nous le reprocher. Comme beaucoup, je n'avais rien d'autre à vous apporter qu'un soutien moral même si tu en doutes. J'ai vécu toute ma vie avec Lenoir et Mernier et cela me poursuivra... quoi qu'on puisse en penser.
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C
Stéphanie, tu parles de haine et tu me juges sans même être venue une seule fois nous voir pendant notre combat, alors que tu es la secrétaire d’un grand parti politique, censé défendre les travailleurs. Quel paradoxe !!<br /> De plus, crois-tu que je ne suis pas au courant de la campagne que tu as menée et des insultes que tu as proféré, quand nous avons voulu faire une liste aux élections, pour simplement faire entendre la voix des victimes d’un patron voyou. Encore une fois pourquoi n’est tu pas venu nous voir que de juger de loin ?<br /> Je pense tellement à moi et à ma situation que tu vois maintenant aucun employeur ne veux m’embaucher, ni même en intérim. N’oublie pas quand même que je suis comme 130 autres salariés au chômage à cause d’un patron qui a pillé l’entreprise. Où est ta réaction politique ?<br /> S'il y a eu une invitation au 1er mai des autres syndicats, une chose est certaine notre union locale en a été exclue. Si tu étais au courant pourquoi ne m’a tu pas appelé pour nous inviter ?<br /> L’éloge que tu fais de ton père est mérité, car c’est un grand homme qui j’en suis sûr aurait soutenu notre combat. Je ne me comparerais pas a lui, car il est vrai je ne le mérite pas, je le respecte trop pour me sentir son égal. Par contre tu devrais avoir la même modestie, car dans tes propos et tes actes, je ne reconnais pas les valeurs humaines et combatives que seul un homme comme ton père pouvait avoir.<br /> Ton père était plus qu’un ami, c’était un modèle et je suis sûr que de “ là-haut “ il n’a pas à rougir de mon action. <br /> Je l’aimais beaucoup et c’est la seule raison pour laquelle je n’ai aucune rancune pour ton attitude pendant le conflit et pour tes propos blessants.<br /> Enfin pour finir, la liberté d’expression est de mise sur ce blog, ne m’attribue pas non plus tous les commentaires, soit pragmatique et objective, ta porte est ouverte et la mienne aussi et tu seras toujours la bienvenue.<br /> Amicalement<br /> Claude
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S
Que de mensonges sur ce site !<br /> Jean Boisseau serait effaré d'entendre les conneries inventées par Claude Choquet ! Il y a bien eu une réunion intersyndicale, le 1er mai dans les locaux de la Ville de Bogny sur Meuse et je pense que les représentants syndicaux ne doivent pas être contents d’être ignorés par Claude Choquet ! Claude, tu as la haine... et tu ne seras jamais quelqu'un qui défend les ouvriers sans penser d'abord à toi et à ta situation. Jamais tu ne ressembleras à mon père ni aux valeurs qu'il défendait : Solidarité, humanisme, amour des autres, et cordialité avec les autres.... Tu ne t'es jamais investi dans les manifestations de Bogny sur Meuse... La porte de mon père et la mienne ont toujours été ouvertes. La tienne ne l'a jamais été ! Tu ne veux rien construire...<br /> Tu veux juste détruire... <br /> Les usines ne disparaissent pas du paysage de Bogny sur meuse... Bien au contraire... La ZA est accueillante et de nouvelles entreprises vont venir s'implanter. Quel bognysien peut être contre ? Aucun pas même toi Claude ! Faut pas oublier aussi que le fleurissement permet de créer des emplois ! Pouvez vous être contre aussi ? <br /> Stéphanie, fille d'ouvrier au SMIC, décédé d'un cancer de l'amiante chez Lenoir et Mernier et qui s'est toujours battu avec honnêteté et sans arrière pensée pour les ouvriers
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L
Allons, allons M. Cordier, la politique rendrait-t’elle amnésique ?<br /> Après vérification et plusieurs témoignages il s’avère que vous avez prononcé ces paroles le 24 janvier 2008, vers 17H00 devant le personnel et dans l’enceinte de l’entreprise Lenoir et Mernier.<br /> Les politiques sont habitué à pratiquer la langue de bois, le double langage et les promesses préélectorales, c’est le jeu, je l’admets, mais votre franc parlé et votre sens du contact m’ont habitué à d’autres interventions de votre part.<br /> Amicalement
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P
Je viens de prendre connaissance de vos propos sur le fait que je me faisais fort de retrouver 50 repreneurs!!!, je n'ai jamais tenu de tels propos. Il ne faut pas dire n'importe quoi.
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J
Soyons réaliste construisons une veritable opposition de gauche à Sarkozy (?)
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K
un petit bonjour a tous les copains <br /> <br /> pour la commune de bogny qu'il n'espère pas la deuxieme fleur il ne l'auront pas, une c'est deja pas mal et je c'est que quoi je parle , je suis juré régional du fleurissement spécialisé paysagiste espace verts au cas ou si la commune pourait embaucher on ne sait jamais du moins je tente ma chance<br /> <br /> sinon si il ya toujours a jeudi a UL<br /> <br /> amicalement et solidaire a vie
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R
bien dit ALAIN toujours et encore d'accord avec toi<br /> mais cela cessera t'il un jour<br /> bonne journee a tous et a toutes
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A
Tu as parfaitement raison, notre commune ne pense plus qu'à une chose avoir une deuxiéme fleurs sur son panneau, et puis que pouvions nous attendre d'une municipalité qui ne connais en rien le monde ouvrier,tout ce qui compte pour eux c'est le bien être ( pardon je voulai dire LEUR bien être )<br /> Ils veulent avoir une commune superbe à n'importe et le prix à payer c'est nous, et pour cela ils doivent supprimer les usines qui dénote sur le paysage, car ne serait'il pas plus joli à leurs yeux de voir une halte fluviale, un parking ou que sais-je encore à la place d'une vieille usine, quand on voit une autre usine coincé entre la maison de retraite et la nouvelle école cela fait encore tache sur le paysage par contre si on retire cette usine et qu'à la place on plante des fleurs cela mettrai plus de cachet et hop encore une fleur de gagnée<br /> Je sais je répère souvent le mot USINE, mais c'est simplement pour r'appeler à certain que les usines existent car j'ai bien l'impression que pour eux les mot usines, ouvriers, solidarité ne veulent rien dire<br /> Bon je m'arrete là car si je vide mon sac j'ai peur qu'il y ai des représailles car maintenant il faut s'attendrre à tout
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R
tous des faux c...<br /> encore merci de tout ce que tu a fait pour nous<br /> un grand bonjour a tout le monde
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